Le cerveau et l’attention de soi : Comment notre neurobiologie dégrade l’humain

Les neurones du cerveau portent en eux les marques d’un parcours antérieur. Bien que la génétique intervienne dans ce processus, c’est l’entité physique qui se voit plébiscitée dans cette progression. À chaque nouvelle histoire, notre chemin se heurte aux vestiges du développement neuronal précédent, témoignant d’une âme réincarnée dont le souvenir s’efface, mais dont la trace génétique demeure. Si l’âme possède une mémoire rétrograde, le seuil d’activation d’un neurone enregistre, à l’inverse, les traumatismes passés. Ainsi, pour survivre aux défis du prochain parcours, il nous faut évoluer. La forme neuronale n’est pas une simple extension de nous-mêmes, mais plutôt un moyen de nous rappeler qui nous sommes, semblable à un disque dur interne qui conserve des données essentielles du monde. Chaque individu détient une mémoire, oscillant entre une évolution empirique et une transformation véritable. Une force supérieure un dieu transmet à celui qui grandit une information rétrograde, rappelant ainsi l’humilité nécessaire à l’apprentissage. Apprendre, c’est offrir une part de soi, sans céder à l’orgueil d’un sens commun figé et irréversible. La programmation destinée aux autres vise à leur rappeler que chacun demeure maître de lui-même. Celui qui échoue à surmonter les épreuves développe une incompréhension envers autrui et reste figé jusqu’à ce que l’information soit assimilée. Ceux qui semblent être une opportunité de devenir une version de nous édulcorée renferment, en réalité, les pires aspects de notre nature. Ainsi, l’affrontement entre le cœur, l’âme et le cerveau, dans leur interaction raisonnée, apparaît comme la reproduction d’un autre. En fin de compte, nous sommes tous le reflet, le miroir, de l’humanité.
L’âme et la survie du cœur
Le cœur, organe des émotions, est indispensable au bon fonctionnement de l’âme. Le cœur est un organe musculaire situé dans le thoracique, derrière le sternum, et souvent déplacé vers la gauche pour la plupart des personnes. Leurs différences viennent de leur création à la morphologie du métaphysique. Les êtres vivants sont présents grâce à l’organe cœur. En l’absence de l’organe du cœur, la trimérie, les autres organes ne peuvent agir que de manière autonome. Cela signifie que sans cœur, l’être humain se désintègre, car leur approbation en leur amour donne un destin brisé. La connaissance de sa voie conduit à une âme en paix, ce qui favorise l’accroissement de l’âme. S’ils délaissent pour un parcours d’un système corrosif, le parcours les a meurtris car ils se perdent par la manipulation au service d’un autre. Après la mort, les organes ont conservé une mémoire du cœur et de ses émotions. Quand les défunts s’expriment, ils donnent le meilleur d’eux-mêmes par le temps grâce à l’organe cœur qu’ils ont eu présent en eux. Ce qui les a profondément marqués, touchés, rendus vivants et tendus à être plus épanouis dans leur volonté d’être, c’est la mesure du reste de leur amour en eux. Mais sans l’organe du cœur, nous survivons à la violence, à l’amertume et aux intentions mauvaises. Les mauvaises intentions altèrent notre présence en nous. À la création, le cœur était le premier organe créé. Symbole de la générosité, de l’empathie, du partage, de la franchise, du courage d’être bon, de transmettre le meilleur de nous, de vibrer à la note du sentiment de désintérêt pour notre présence. Juste ressentir la sensation d’être vivant et le désir d’être présent. La destruction détériore l’action du cœur, il devient noir comme du charbon. La volonté d’avoir ce que nous voudrons, en forçant les événements, nous mène à notre destruction et à l’auto-sabotage des autres vivants, la nature comme celle des êtres vivants. Tout impacte tout le monde et sève le pire en eux sans richesse du cœur. L’intelligence prime au détriment des cieux. Cela veut dire que nous n’avons plus le cœur d’être présents, d’être dans une illusion de tirailler son amour en nous. Cette envie de posséder tout et rien sans prendre conscience de nous rappeler de notre éphémère existence terrestre. Pour notre volonté de tout obtenir dans l’incandescence d’un nous, la haine ne regarde que la haine de rien obtenir.
Théorie des anneaux & des âmes porteuses

La théorie des cordes est une représentation de notre monde constitué d’un espace temps différé. Les dimensions ont une échelle variable et forment une grandeur dans l’univers, qui est un espace-temps de dimensions irréelles. Cela équivaut à l’infini. Il n’existe pas une corde vibratoire d’énergie, mais des centaines de milliers entremêlés donnant une direction. Qui met en place une mesure qui est définie en fonction de l’évolution de l’homme. Aucun être vivant n’est plus désordonné qu’un humain dans sa prétention. Il crée le feu et rémunère sa présence de manière unilatérale. On le nomme l’anthropocentrisme. L’humain est dans un chaos désorganisé, mais en permanence différent et évolutif. Les cordes vibratoires nous permettent de recevoir de multiples informations sur chaque individu. La matière est porteuse d’informations sur nos histoires entremêlées. Une énergie détient des monuments. Cela veut dire, en d’autres termes, des informations répertoriées sur la vie. La théorie des cordes est en fait un cadre théorique sous une matière noire qui compose et recompose la proportion de la vie sur nous. Les particules donnent un moyen : l’oxygène de l’air, les bronches libres. Notre constitution ne permet pas un environnement hostile pour la mémoire (génération des cellules ralenties). La pression et les températures sont extrêmes à certains endroits de l’univers, ce qui peut sembler incompatible avec le développement d’organismes. Toute cette symphonie donne un équilibre aux transgénérationnels dans le monde. Entre le chaos et le mystère, il faut une ponctuation. Le feu aide à l’élévation, la lumière à s’éteindre. Les cordes sont un idéal humain pour rendre tangible un parcours dans un circuit de compréhension de l’homme. L’univers est unidimensionnel. Les cordes se déplacent sous l’effet d’un étau noir, ce qui est connu sous le nom de vide, la profondeur d’un anneau à circulation inversée. Tout le système en nous est inclus dans cette théorie. Fonctionne de la même manière qu’en préparant une superposition d’états de calcul. Nous regardons les étoiles en nous demandant ce qui se trouve au-delà d’une frontière entre eux et nous.
Les mémoires universelles sont appelées mémoires akashiques

Toutes les âmes ont leur histoire ; elle est enregistrée dans la mémoire éternelle. Il y a une tâche d’apprentissage à accomplir pour chaque mémoire, celle de progresser. Une mémoire est détenue dans une akashique, la peur en nous. Travail interne d’une cellule pour renouveler notre programme. L’incorrection est traduite par la mémoire d’un homme. Cela fait référence à une âme, une peur, l’apprentissage dans l’âme. Notre progression est accompagnée par une âme. Elle crée le feu et exprime l’évolution. Les mémoires akashiques retracent l’évolution de chaque conscience depuis sa création. L’un des piliers de l’évolution de l’humanité repose sur l’approfondissement de notre compréhension de l’esprit universel. À l’origine, tout est rien. Rien n’était qu’un tout, un tout à retranscrire dans une mémoire. Le travail est fractionné en plusieurs tâches. La mémoire akashique nous rappelle notre origine et notre identité. La progression de l’histoire est conditionnée par notre capacité à évoluer. La mémoire akashique a collecté des connaissances codées sur un plan d’existence qui n’est pas physique. Chaque mémoire akashique est répertoriée et gardée dans cette « bibliothèque cosmique ». Une mémoire est un corps vivant, il détient des âmes. Chaque fois qu’il écrit une histoire, nous attirons et intègrons des âmes. Chaque indiscipline engendre une personnalité distincte. Les âmes ici sont celles qui utilisent un comportement pour bloquer leur avancement. La mémoire akashique enregistre toutes les pensées, expériences et émotions de toutes les formes de vie, qu’elles soient végétales, humaines ou animales la terre entière.
Les ramifications d’air de la matière noire

La Matière noire développe des bronches, des issues afin et pour accéder à un mode de respiration universel. Elle est similaire à la configuration d’un gestationnel, qui est le principe de la détermination de la maturité des organes. Elle est en mouvement. La gestationnel développe de nombreuses bronches afin d’appliquer des branchements de communication. La communication est essentielle pour permettre un déplacement rapide des informations d’un point à un autre de l’univers. L’air est un accès aux versions dimensionnelles et à la communication interne d’un circuit programmé, qui donne le moyen et la direction. Les étoiles sont des accès de protection et des voies latérales universelles alternatives à des versions de nous. Elles sont les poumons de l’univers. Une dimension de nature inestimable par rapport à la densité de l’univers, aussi dense que celle de la matière noire. Elles préservent l’animosité et donnent la diversion des informations, elles gardent les mémoires. Les étoiles, tout comme les poumons, fonctionnent comme des voies respiratoires et ont la même apparence visuelle que les racines d’un arbre. Les respirations déterminent le mode de fonctionnement d’un univers l’univers donne des temps . Tout comme un poumon respire, la terre est une respiration. Elle est en mouvement, c’est une matière qui lui donne l’air et la gestuel. C’est à cet endroit que la communication s’effectue, à travers cet ensemble de voies divergentes, comme la vision de bronche. De par les diverses dimensions, nous nous connectons à des alvéoles d’air liées au reste du monde, à l’extrémité de chacune des branches de l’arbre bronchique qui suivent une voie d’air.