Le cerveau et l’attention de soi : Comment notre neurobiologie dégrade l’humain

Les neurones du cerveau portent en eux les marques d’un parcours antérieur. Bien que la génétique intervienne dans ce processus, c’est l’entité physique qui se voit plébiscitée dans cette progression. À chaque nouvelle histoire, notre chemin se heurte aux vestiges du développement neuronal précédent, témoignant d’une âme réincarnée dont le souvenir s’efface, mais dont la trace génétique demeure. Si l’âme possède une mémoire rétrograde, le seuil d’activation d’un neurone enregistre, à l’inverse, les traumatismes passés. Ainsi, pour survivre aux défis du prochain parcours, il nous faut évoluer. La forme neuronale n’est pas une simple extension de nous-mêmes, mais plutôt un moyen de nous rappeler qui nous sommes, semblable à un disque dur interne qui conserve des données essentielles du monde. Chaque individu détient une mémoire, oscillant entre une évolution empirique et une transformation véritable. Une force supérieure un dieu transmet à celui qui grandit une information rétrograde, rappelant ainsi l’humilité nécessaire à l’apprentissage. Apprendre, c’est offrir une part de soi, sans céder à l’orgueil d’un sens commun figé et irréversible. La programmation destinée aux autres vise à leur rappeler que chacun demeure maître de lui-même. Celui qui échoue à surmonter les épreuves développe une incompréhension envers autrui et reste figé jusqu’à ce que l’information soit assimilée. Ceux qui semblent être une opportunité de devenir une version de nous édulcorée renferment, en réalité, les pires aspects de notre nature. Ainsi, l’affrontement entre le cœur, l’âme et le cerveau, dans leur interaction raisonnée, apparaît comme la reproduction d’un autre. En fin de compte, nous sommes tous le reflet, le miroir, de l’humanité.
Les ramifications d’air de la matière noire

La Matière noire développe des bronches, des issues afin et pour accéder à un mode de respiration universel. Elle est similaire à la configuration d’un gestationnel, qui est le principe de la détermination de la maturité des organes. Elle est en mouvement. La gestationnel développe de nombreuses bronches afin d’appliquer des branchements de communication. La communication est essentielle pour permettre un déplacement rapide des informations d’un point à un autre de l’univers. L’air est un accès aux versions dimensionnelles et à la communication interne d’un circuit programmé, qui donne le moyen et la direction. Les étoiles sont des accès de protection et des voies latérales universelles alternatives à des versions de nous. Elles sont les poumons de l’univers. Une dimension de nature inestimable par rapport à la densité de l’univers, aussi dense que celle de la matière noire. Elles préservent l’animosité et donnent la diversion des informations, elles gardent les mémoires. Les étoiles, tout comme les poumons, fonctionnent comme des voies respiratoires et ont la même apparence visuelle que les racines d’un arbre. Les respirations déterminent le mode de fonctionnement d’un univers l’univers donne des temps . Tout comme un poumon respire, la terre est une respiration. Elle est en mouvement, c’est une matière qui lui donne l’air et la gestuel. C’est à cet endroit que la communication s’effectue, à travers cet ensemble de voies divergentes, comme la vision de bronche. De par les diverses dimensions, nous nous connectons à des alvéoles d’air liées au reste du monde, à l’extrémité de chacune des branches de l’arbre bronchique qui suivent une voie d’air.