
La matière noire joue un rôle actif dans l’organisation de l’univers. Elle agit comme un réseau qui déploie des ramifications, un peu comme des bronches, ouvrant ainsi des voies d’accès à une forme de respiration universelle. Ce n’est pas une respiration au sens biologique, mais plutôt une métaphore. Elle désigne le flux d’énergie et d’information qui circule à travers le cosmos.
En effet, cette matière noire fonctionne comme un principe structurant, proche d’un processus de gestation. Elle accompagne la formation et la maturité des organes cosmiques autrement dit, des structures fondamentales de l’univers comme les galaxies ou les étoiles. De plus, en mouvement constant, la matière noire forme un réseau de communication. Elle crée de multiples ramifications qui permettent aux informations de se déplacer rapidement à travers l’espace.
L’air, dans cette logique, symbolise un moyen de transmission. Ainsi, il devient un vecteur qui facilite l’accès à différentes dimensions, comme s’il faisait partie d’un système de communication codé. Il oriente la direction des échanges entre les éléments de l’univers, un peu comme une carte aérienne des connexions invisibles.
Par ailleurs, les étoiles sont présentées comme les poumons de l’univers. Elles forment des zones de protection, mais aussi des passages vers d’autres versions de nous-mêmes. Cette image suggère la possibilité de réalités parallèles ou dimensions alternatives. Leur densité, bien que difficile à percevoir, leur donne une valeur immense : elles gardent la mémoire de l’univers, absorbent les tensions comme un régulateur, et redistribuent les informations pour maintenir un équilibre.
Leur structure est comparable aux racines d’un arbre. C’est un réseau ramifié semblable aux voies respiratoires dans le corps humain. Par conséquent, cela crée une analogie entre la biologie humaine et le fonctionnement cosmique, où la respiration devient un rythme fondamental, une sorte de cadence qui régit l’univers. La Terre, elle aussi, est vue comme un poumon vivant. Elle respire au travers de mouvements naturels, portée par une énergie qui lui donne vie. Cette énergie anime la communication entre les éléments de la planète. Elle passe à travers un réseau complexe de flux, comparable aux bronches transportant l’air jusqu’aux poumons.
Enfin, au-delà des limites visibles, nous serions tous connectés à des alvéoles cosmiques. Il s’agit de petites unités d’air ou d’énergie qui nous relient au reste du monde. À l’extrémité de chaque branche de cet immense arbre cosmique, une connexion invisible maintient l’équilibre du tout.