Théorie des anneaux & des âmes porteuses

La théorie des cordes est une représentation de notre monde constitué d’un espace temps différé. Les dimensions ont une échelle variable et forment une grandeur dans l’univers, qui est un espace-temps de dimensions irréelles. Cela équivaut à l’infini. Il n’existe pas une corde vibratoire d’énergie, mais des centaines de milliers entremêlés donnant une direction. Qui met en place une mesure qui est définie en fonction de l’évolution de l’homme. Aucun être vivant n’est plus désordonné qu’un humain dans sa prétention. Il crée le feu et rémunère sa présence de manière unilatérale. On le nomme l’anthropocentrisme. L’humain est dans un chaos désorganisé, mais en permanence différent et évolutif. Les cordes vibratoires nous permettent de recevoir de multiples informations sur chaque individu. La matière est porteuse d’informations sur nos histoires entremêlées. Une énergie détient des monuments. Cela veut dire, en d’autres termes, des informations répertoriées sur la vie. La théorie des cordes est en fait un cadre théorique sous une matière noire qui compose et recompose la proportion de la vie sur nous. Les particules donnent un moyen : l’oxygène de l’air, les bronches libres. Notre constitution ne permet pas un environnement hostile pour la mémoire (génération des cellules ralenties). La pression et les températures sont extrêmes à certains endroits de l’univers, ce qui peut sembler incompatible avec le développement d’organismes. Toute cette symphonie donne un équilibre aux transgénérationnels dans le monde. Entre le chaos et le mystère, il faut une ponctuation. Le feu aide à l’élévation, la lumière à s’éteindre. Les cordes sont un idéal humain pour rendre tangible un parcours dans un circuit de compréhension de l’homme. L’univers est unidimensionnel. Les cordes se déplacent sous l’effet d’un étau noir, ce qui est connu sous le nom de vide, la profondeur d’un anneau à circulation inversée. Tout le système en nous est inclus dans cette théorie. Fonctionne de la même manière qu’en préparant une superposition d’états de calcul. Nous regardons les étoiles en nous demandant ce qui se trouve au-delà d’une frontière entre eux et nous.